Une réforme sur le code du travail pour réduire les déficits de la caisse d’allocation au chômage, c’est une des mesures lancées par le gouvernement français pour atteindre l’inversion de la courbe du chômage avant la fin du premier quinquennat Hollande. Cette réforme a le mérite de diviser les opinions, car étant nécessaire, mais toujours contraignante pour les petits travailleurs tels le serrurier de Maisons-laffitte.
Artisans en colère ?
Ces travailleurs inquiets sont ceux issus de la filière artisanale, notamment les agents d’entretien et d’installation des équipements des secondes œuvres et d’autres branches ayant déjà souffert d’un contexte économique morose plombé par plusieurs raisons évitables, une euro dépendance en tête des raisons. Vitrier de Chatillon, près de 3 millions de français dépendent des interventions en urgence de professionnels habitant à proximité. A cause des hausses des cotisations et la baisse du plafonnement des heures supplémentaires. Les marges bénéficiaires des artisans, déjà extrêmement fines pour la plupart des ces entrepreneurs, ne peut pas être suffisant pour assurer un avenir meilleur sur fond de recrutement, d’ achat de nouveaux matériels et la création de divers types de services après vente pour les usagers.
La réforme contre le travail
Au vue de ce qui a été dit pour les réformes sur le code du travail, il s’agit tout simplement d’une mesure contre le travail libre auto-entrepreneuriat. Déjà pénalisé par leur nombre de personnel ne dépassant la dizaine que très rarement. Les artisans veulent bien faire des efforts pour les cotisations et s’imposer les mêmes chiffres pour les travaux supplémentaires et majorées. L’état doit absolument réduire le budget alloué aux assurances, entre autres coupes budgétaires, sous peine d’avoir une balance commerciale déficitaire entraînant des effets désastreux pour les patrons d’entreprises et les employés. Malgré tout, les serruriers doivent s’adapter à ces nouvelles réformes sous peine de voir une entreprise familiale et d’intérêt public mettre les clefs à la porte.